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poémes
07/05/2005 20:41
Ecoute papa, petite fille quand papa te dit sois gentille ! Tu es le sang de mon sang, la chair de ma chair ... Tu es à moi je suis ton père ! Tu es à moi, ne te défile pas, allons cesse de gémir petite garce ! Ce n'est pas une farce. Quand dans ta chambre, je me glisse comme une ombre noire, transformant tes rêves en cauchemars, suivis par tes yeux d'ambre, tout peut se passer du pire au meilleur, mais surtout du meilleur ! Ecoute moi, laisse toi faire, ne m'oblige pas à me mettre en colère. Ne crois pas que je suis insensible ! Je te fais passé des nuits de plaisirs indescriptibles. Quand mon souffle effleure ta nuque chaude, ne cris pas allons Aude, petite sotte ! Tu es à moi à chaque fois que se mettent à claquer mes doigt dans l'élastique de ta culotte ! Je suis le seul à te comprendre. Qui d'autre que moi saurait te prendre ? Hors de question que tu donnes ton corps au premier inconnu, les hommes sont des porcs ! Tu es à moi, n'essaye pas d'attarder notre ébat ! Ne me dis pas que mes caresses te glacent, ta peau est si chaude, restes à ta place ! Ecoute moi pauvre conne, au lieu de répéter que tu n'est pas ma bonne. J'ai versé ton sang, pillé ta chair, tu es à moi je suis ton père ! Je gagne ta vie, le gîte, le couvert. Quand j'ai envie laisse toi faire ! Je suis le seul à te comprendre, qui d'autre que moi aurai voulu te prendre ?! Approche ici me donner ton corps, jusqu'à ce que tu me cris encore. Tu es à moi, ne bouge pas, ou tu ne jouiras qu'avec une lame dans ta gorge, ça serait dommage ... Restes sur la baquette arrière, ne m'oblige pas à me mettre en colère. Ecoutes moi petite peste, laisse toi faire, je t'offrirais les robes dont tu rêves, de la lingerie fine. Regardes dans les yeux celui qui te souille, profane ton corps si frêle, t'attache les poignets jusqu'à que ces derniers deviennent bleus. Je fais de toi ma poupée, assez de critiques enfoirée ! Tu es à moi, je suis ton père, ne te débat pas, ne me met pas en colère. Tu es à moi, à chaque fois que se mettent à claquer mes doigts dans ta culotte, allons ne cris pas, petite sotte...
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