|
|
|
|
|
poémes
07/05/2005 20:39
Je me souviens de cette nuit de guerre. J’avais absorbé toute une vie de colère. La drogue ne changeant rien, au contraire. Je t’ai frappé jusqu’à que tu reste à terre. . .
Une nuit débutais, semblable à tant d’autre. Ce qui se préparait. . . La pire de mes fautes. . . Je regrette ce geste de grande folie. Je perd la tête, je ne mérite pas la vie.
Pourtant, sur Terre, tu me l’as offerte. Croyant bien faire, tu as créé ma perte Je mérite le fer, l’esclave des Enfers ! Pour t’avoir défié, blessé, toi mon Père
| |
|
|
|
|
|
|
|
poémes
07/05/2005 20:37
celui qui est arrivé à l'amour parfait de Dieu vit en ce monde comme s'il n'y vivait pas. Car il se considère comme étranger à ce qu'il voit, attendant avec patience l'invisible... Attiré vers Dieu, il n'aspire qu'à le contempler..
| |
|
|
|
|
|
|
|
poémes
07/05/2005 20:35
Top chrono
C'était le mois des ombres dans les plus grandes maisons on passait des heures sans nombre dans l'attente de la distribution de l'aide internationale la cuisine de ces plats sombres et le calcul de leurs rations.
Il pleuvait à l'infini une eau couleur de tombe avec un goût de ferraille que l'on buvait sans précaution en écoutant le bruit des bombes celui des explosions était-il onze heures ou bien déjà minuit.
C'était une épouvantable pagaille tout allait de travers on aurait donné père et mère on aurait vendu tout son attirail pour rêver quelques secondes aux vacances de l'année dernière
l'heure était-elle à demi ou bien déjà ronde Nous étions ensemble au bord de la mer nous nous aimions sans nous connaître je t'observais dans le grand lit ta peau n'avait pas cette couleur sombre ramassée cet après-midi.
C'était le mois des ombres et dans ma grande maison je te voyais faire des rondes tu n'entendais plus les bombes ni la voix de ta raison nous avions laissé le grand lit défait des draps à motifs si je ne me trompe figurants roses et ronces
| |
|
|
|
|
|
|
|
poémes
07/05/2005 20:33
Colère du soir, desespoirMarre de tout marre des parents Marre des amis, marre des gens Tout le monde se fou de comment tu te sent Si tu te sens bien, stu te sent vivant
Plus rien a foutre de ce monde de cons De tares, d’batards, de faux jetons Meme dans l’instant jprefere mbarrer Plutot que d’etre naze a vos coté.
J’en ai ras le cul dmforcer a rire J’en ai ras le cul des faux sourire Plus rien a battre des ces connards si c’est la vie ben moi jme barre
Peut etre qu’un jour vous mregretrez Un jour c’est sur vous m’oublierez Moi jpense que je noublierai rien ni votre connerie, ni l’air hautain que vous prendrez pres dmon tombeau où zéte venu juste pour faire beau
Jvous demande juste de ne rien changer Juste continuer à oublier A oublier ce qu’est le chagrin a oublier le prix du pain étre depourvus de sentiments D’omettre ce que vous etes vraiment
En fait meme je ndemande rien car desormais je suis tres loin Car moi aussi jvais oublier tout oublier meme ské aimer.
| |
|
|
|
|
|
|
|
poémes
07/05/2005 20:31
Adieu soleil
j'ouvris la fenêtre j'allongeai le bras et de toutes mes forces j'enfonçai mon poing dans l'oeil du ciel il s'éteignit aussitôt et dans un vacarme effroyable son orbite s'écrasa en miettes par terre l'astre devenu aveugle pendant des heures nous tomba sur la tête dans un patatras épouvantable la ville s'était réveillée horrifiée les bougies se sont vite allumées dans chaque fenêtre un ou plusieurs visages apparurent illuminés par de petites flammes qui clignotaient en les éclairant rendant leurs traits encore plus effrayants la nuit s'étendait partout noire d'encre on entendait des cris et des hurlements la noirceur était presque totale aucun astre n'y brillait seul les lèvres pincées un mince croissant de lune riait d'un air narquois je fermai ma fenêtre afin de continuer à dormir dehors dans une folle cacophonie les gens abasourdis refusaient de retourner au lit et faisaient un tintamarre de tous les diables qui sans doute doit encore se poursuivre je n'en sais rien car je dors j'avais refermé la fenêtre j'avais clos les yeux pour retrouver mon rêve merveilleux sachant que je pourrais reposer en paix puisque jamais plus le jour ne reviendrait
| |
|
|
|
|
|
|
|
poémes
07/05/2005 20:22
Amour détruit
L’amour obsession L’amour illusion L’amour hypocrite L’âme détruite
Ma chimère brisée Les yeux boursouflés Mon rêve s’est écroulé Il gise inanimé
Tu l’as tué mon amour Inerte pour toujours Le coeur en lambeaux Comme déchiré par un couteau
Je t’ai donné mon âme Mais tu me l’a renvoyée Tu en a fait un blâme Tu en a fait la risée
Toi tu voulais mon corps Toi tu voulais ma chair Et tu peux être fier En choisissant mon sort Tu as causé ma mort
| |
|
|
|
|